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Yakitori de blanc de poulet (classique)
Ingrédients :
Préparation :
Coupez le poulet en petits morceaux et piquez-les sur les pics à brochettes.
Badigeonnez les brochettes de sauce Yakitori (à l’aide d’un pinceau) et laisser mariner quelques minutes.
Sur une plaque chauffante (teppanyaki ou plancha) ou à la poêle, cuire le poulet sur toutes les faces jusqu’à ce que les brochettes soit bien grillées.
Yakitori de poulet au curry japonais
Ingrédients :
Préparation :
Coupez le poulet en petits morceaux et piquez-les sur les pics à brochettes.
Dans une casserole, faites fondre un cube de curry dans un peu d’eau bouillante, ajouter de l’eau si nécessaire, afin d’obtenir une belle sauce assez épaisse.
Sur une plaque chauffante (teppanyaki ou plancha) ou à la poêle, cuire le poulet sur toutes les faces.
Verser la sauce au dernier moment.
Yakitori d’oignon
Ingrédients :
Préparation :
Épluchez et coupez l’oignon en quartier que vous piquerez ensuite sur des pics à brochette.
Faire dorer la brochette à la plaque chauffante (teppanyaki ou plancha) ou à la poêle, en badigeonnant l’oignon de sauce Yakitori à l’aide d’un pinceau.
Le nattō est un aliment à base de haricots de soja fermentés, que l’on consomme le plus souvent avec du riz nature, et généralement au petit déjeuner.
Sur Internet on peut voir beaucoup de mise en garde contre l’aspect gluant et l’odeur forte qui en repousse plus d’un.
J’en ai goûté au Japon sans vraiment le vouloir. Dans un petit bol de riz accompagné de negitoro (ネギトロ, pâte de thon et oignon vert) et d’okura (オクラ, gombo) acheté dans un kombini, il y avait aussi un sachet de nattō à mélanger au riz.
Finalement, c’est pas mal !
J’ai trouvé l’aspect « gluant » agréable (c’est marrant, ça fait des fils). Ça rappelle un peu à l’aspect gluant des okura. Et le goût est plutôt bon.
Le konnyaku est une pâte gélatineuse obtenue en mélangeant de la farine de konjac (plante) avec de l’eau de chaux.
Il est blanc (nature) ou brun (avec des algues).
Le konnyaku seul n’a quasiment aucun goût, il prend donc le goût des aliments que l’on cuisine avec.
Il est connu pour son utilisation dans divers régimes car il est très faible en calorie (3 kcal / 100 g) et riche en fibre.
On trouve le konnyaku sous 2 formes :
Au Japon, on mange souvent les shirataki avec des oeufs de morue (tarako たらこ)
PROCHAINEMENT : une recette de shirataki (vermicelles de konnyaku).
Nouilles udon sautées aux crevettes et légumes
Ingrédients :
Préparation :
Couper les poivrons en petits morceaux, et pré-cuire les légumes (poivrons, pois gourmands et edamame) dans l’eau salée.
Dans une poêle, verser un peu d’huile végétale et 2 c.s. d’eau et ajouter les udon fraîches pour les délayer.
Ajouter les crevettes, et les légumes. Faire sauter quelques minutes.
Parsemer de graines de sésame.
Le seitan (セイタン) est un produit à base de protéine de blé (gluten). ✿ C’est la première fois que j’en mangeais, et c’est pas mal mais sans plus (ma note 
). ✿
Sur le plan nutritionnel, il est riche en protéine (30 %) et peu calorique (120 calories pour 100 g).
Il convient parfaitement aux régimes végétariens et végétaliens.
En France, on trouve de plus en plus de seitan dans les rayons bio ou les épiceries bio.
Pour cette recette, j’ai trouvé une sauce teriyaki bio (LIMA), pour être dans le même esprit bio. ✿ Elle est très bonne, et bien épaisse comme j’aime (ma note 
). ✿
Au Japon, on trouve également ce produit qui fait parti des aliments transformés à base de gluten appelés fu 麩 (ou fusuma).
Cette sorte d’aliment a été très tôt adopté par les moines bouddhistes qui l’ont importé dans toute l’Asie. D’ailleurs, on l’appelle aussi « nourriture de Bouddha ».
Ingrédients :
Préparation :
Cuire les nouilles soba.
Cuire les poivrons.
Couper en tranche le seitan s’il ne l’est pas déjà.
Faire mariner le seitan dans la sauce Teriyaki pendant environ 30 minutes.
Verser un peu d’huile dans une poêle, et faire sauter le seitan quelques minutes.
Ajouter les soba et les poivrons à la fin pour les faire sauter.
En japonais : ごま (goma).
Les graines de sésame sont beaucoup utilisées dans la cuisine japonaise. On les saupoudre sur le riz, les nouilles, les légumes, le poisson, les pâtisseries… on les écrases dans un mortier suribachi pour former une pâte qui va servir à faire – par exemple – une sauce sésame appelée goma-ae.
Il existe plusieurs sortes de graines de sésame :
Mes préférées sont les graines de sésames grillées, et les noirs. Celles au wasabi sont pas mal aussi, mais elles déteignent vite les ingrédients en vert :P.
J’aimerai bien goûter celles à la prune ume, je n’en ai jamais trouvé. Mais c’est risqué, c’est spécial l’umeboshi.
Donburi de poulet aux œufs.
* Don ou donburi 丼 : grand bol de riz sur lequel on dispose toutes sortes de garnitures.
* Oyako 親子 : signifie « parent et enfant », petite allusion à la poule et à l’œuf réunis dans ce plat.
Ingrédients (pour 1 personne) :
Préparation :
Cuire le riz.
Emincer l’oignon.
Couper le poulet en petits morceaux, et le faire mariner quelques minutes dans un mélange de sauce soja et de sake.
Verser le dashi, la sauce soja, le sucre et le sake dans une petite poêle, faire bouillir.
Ajouter les morceaux de poulet, l’oignon et les edamame (ou petits pois). Faire mijoter à feu moyen.
Battre l’œuf et le verser dans la poêle. Laisser cuire encore quelques minutes à feu doux jusqu’à obtenir une sorte de galette.
Servir le riz dans un bol, ajouter la galette de poulet aux œufs, et parsemer de paillettes de nori.
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* Sauce soja sans gluten (exemple LIMA)
